Tu me manques, parfois, des fois,
Tu me manques cent fois, mille fois,
Tu me manques j’ai froid,
Tu me manques avec effroi.
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Toutes ces nuits solitaire,
Toutes ces nuits éphémères,
Toutes ces nuits guerrières,
Toutes ces nuits adultères,
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Les jours ne sont pas mieux,
Mes jours ne sont qu’ennui,
Les jours sont capricieux,
Mes jours sont comme mes nuits.
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Le temps, comme le vent,
Calmera l’ardeur que j’ai en moi,
L’amant, comme avant,
Sera toujours là pour toi,
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Que la raison du pire est souvent la meilleure,
Que mes bras sont tendus, attendus, preneurs,
Ce silence ne dissimule mes pas,
Dans ma vie je ne vois plus que toi.
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Comme une gitane portée à ma bouche,
Plus sucré que le nectar des roses,
Une envie de toi farouche,
Me pousse dans le vide, porte close.
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Tu me manques, parfois, des fois,
Tu me manques cent fois, milles fois,
Tu me manque j’ai toujours froid,
Tu me manques de toi à moi.
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à 21:36