Le monde vu par La Faucheuse

D’après tes écris, pas ce que j’aime, (ce que tu endures).

Pour moi le partage c’est aimer l’autre pour ce qu’il est, vouloir vivre sans regard, se fondre dans un commun accord ! Les joies, les peines, la vie quoi.

C’est aussi donner, l’implication, offrir sans retour !

Enfin c’est moi !

"Je partage, donc j'existe"

Très jolie blog ; ))

C'est fête deux le même jour !

Alors pour moi, car pour toi c'est pas top (rire)!

Partager ma moto chaque fois qu'il fait beau Partage mon lit chaque fois qu'il fait gris.

Il ne faut pas oublier que, tandis que le partage de la joie en accroît l'étendue sur cette terre, le partage de la douleur n'en diminue pas la somme. O.W

Plus on partage, plus on possède. Voilà le miracle.

et pour toi le partage est à sens unique.... et la c'est bof... courage : )

Bise

On n’atteint pas le sommet de l’amour partagé par des élans plus sensuels qu’affectifs.

L’amour est autre, et ses racines ne naissent pas dans l’élan des corps mais dans celui des cœurs.

Bon chance pour la suite.

Bon, je parle de ton texte ok !,

Pour nous (mon homme et moi) le partage représente l’amour de l’autre.

Il s'agit sans doute du plus grand de tous les bonheurs : peut-on imaginer plus grande merveille, en soi ou dans une quelconque relation ?

Pouvoir, avec une délectation partagée, goûter cette étrange et merveilleuse bestialité qui fait qu'il s'agit d'un homme et d'une femme qui jouissent l'un de l'autre, abstraction faite de leur personne, alors qu'ils trouvent leurs délices à se servir l'un de l'autre, indépendamment des considérations personnelles, qui sont malgré tout présentes, mais à l'arrière plan.

Le partage ne doit jamais être souffrance. (A bon entendeur je t’embrasse!)…

J.B., tes allusions et ton obstination ressemblent étrangement à une prison (à moins que je lise mal entre tes lignes). Moi je te dis juste que le partage c'est laisser à celui qu'on aime le choix de son bonheur. Lui imposer ses propres souhaits, le harceler pour l'influencer n'est rien d'autre qu'emprisonner, et donc bien le contraire de partager. Moi lorsque je sens un amour ou même un ami se détacher de moi (comme je sens là que c'est le cas), je préfère m'éclipser pour ne pas devenir un boulet. La vie est trop courte pour  la gâcher aux autres et à soi-même, et encore moins à quelqu'un qu'on aime.

:-)

Une fois de plus, tu as encore tout compris! incroyable...bises aussi. :-)

Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes

Voilà ....... Une bise au si beau poète, je te connais mais pas toi!

Coco t'embrasse ;-)