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Glisser ce regard dans les désirs subtils,
Sans se soucier de nos cœurs devenus cible,
Peu importe le résultat des conséquences,
Chercher dans cette lueur un éclair d’insolence.
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Là où reste l’empreinte de tes doigts,
Le mal fait du bien… là !
J’ai cherché les mots magiques au fond de moi,
Je les ai trouvés sur ton cuir chez toi...
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J’avais oublié combien une chambre,
Peu être sensuelle quand tu te cambres,
Des égaux les chiffres portent chance,
Partager toutes nos nuits blanches.
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Ton mur nous appelle aux crises d’une carence,
De nous deux nus, plaqués en transe,
Préférer le langage traduit par mes mains,
Déchiffrer par le braille la forme des tes reins.
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je suis l’étoffe de celui qui t'a dans la peau,
Dans mes bras j’imagine les reflets de ton dos,
Cette salsa qui nous accompagne aux rythmes endiablés,
Dans les débuts d’une nuit nous avons cédé.
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à 15:36