.
Commencer par ce regard qui en dit long,
D’un désir né d’une rencontre, d’un prénom,
Cet échange de sourires et de jolis mots,
Qui vous mènent toujours beaucoup plus haut.
.
Peu importe le temps qui s’écoule,
Saisir l’instant d’une approche dans cette foule,
Chercher le tactile jusqu'à effleurer,
Au contact simple mais tant recherché.
.
Se dire qu’après le plus beau il y a toi,
Du charme qui s’en dégage se trouve l’émoi,
J’aime t’entendre parler de ce qui touche,
De ton cœur qui se libère de ta bouche.
.
D’une octave plus haut se font les mots tendres,
Je les garde en moi quitte à tout prendre,
Pour perdurer mon périple, mon voyage,
J’apprendrai tous tes autres langages.
.
D’un frisson qui se perd aux lignes de mes mains,
Que l’on retrouve blotti entre nous deux les matins,
Le sol ne tremble plus, nous accorde ce sursis,
Cède au bénéfice du doute jusqu'à la nuit.
.
.
à 17:21