Féline...
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Comme un flash,
Tu m’as pris cash,
Surpris de te voir ainsi,
A la tombé de la nuit.
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Mouvement de parfum, tu m’atteins,
Je suspends mon vol et reviens,
Longue absence, j’ai faim,
Je te veux, maintenant, viens.
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Envie de tout, de toi,
Jusqu’au bout de l’émoi,
Faire n’importe quoi,
Aller ici, ou là, même la bas.
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Le lieu ne compte pas,
Choisissons le temps,
Je m’allonge sur toi,
L’espace d’un instant.
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Le désir est plus grand,
De jour en jour,
Cœur en mal d’amour,
Je suis impatient.
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Signe particulier câline,
Dont on ne sait à qui elle se destine,
Dans le silence où elle s’obstine,
Elle demeure à jamais divine.
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Dans sa démarche, elle reste féline,
Et sa beauté qu’illumine,
Un rire sur son visage, lutine,
Elle joue encore et taquine.
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Elle ouvre sa bouche, dit « imagine »
Je vis pour cette héroïne,
Ces souvenirs qu’elle paraffine,
Il est des tristesses qu’elle assassine.
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Son aura me fascine,
Je me laisse emporter par l’arlequine,
De ma peine qu’elle lamine,
Par l’amour qu’elle dissémine.
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à 12:03