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La tempête s’annonce au loin,
Ne pas voir l’orage arriver,
Comme une gifle à pleine main,
Sentir le rouge aux joues monter.
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Laver ces paroles appuyées,
Les nuages sont bien chargés,
La piste des maux dégagée,
Les éclairs commencent à parler.
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Le vent se lève, prend la parole,
Abritons-nous au charme décalé,
Mes heurts affûtés s’envolent,
Les éléments vont s’exprimer.
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Ce ciel aux couleurs anthracite,
L’air est devenu électrique,
Ces pages remplies à la va-vite,
Garder son calme aux idées stoïques.
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Dans mon cœur il y a trois angles,
Qui se déchaînent quand tu te dénudes,
Aux chants des sirènes, tu me sangles
Dans mon triangle des bermudes.
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à 20:33