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Sans appel
Ce magicien compositeur,
Frôle les cordes avec grandeur,
Pluie de notes en La majeur,
accords parfaits, joue en seigneur.
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Les bords de cette coupe argentée,
Dessin de tes lèvres posées,
D’un rouge cerise en été,
Je ne l’oublierai pas, même si je le voulais.
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Ce texte court que j’ai tant attendu,
Un message qui m’aurait fait vibrer,
Toute la journée, n’est pas venu,
Pourtant qui l’aurait cru.
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Il existe dans ma tête un ciel étoilé,
Images, et textes bien rangés,
Je vais réveiller mon ami l’été,
Réchauffe en moi ce corps cendré.
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Je vois la vie en noir en blanc,
Tu puises ta force au printemps,
Je suis dans un hiver permanent,
Tu es mon soleil brûlant.
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Retrouver l’amour fou,
L’instant divin,
Oublier le garde fou,
T’aimer un brin.
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à 21:31