.
I comme Icare, toucher le soleil,
A quelques centimètres de moi et sans pareil,
Il vous réchauffe le cœur, là, juste ici,
Le vent a chassé les nuages et la pluie.
.
Ses rires illuminent mon moi en émoi,
La malice était de mise lors de ce repas,
Sa voix rythmait la mesure par trois,
Chef d’orchestre entre elle et moi .
.
Cette joie de vivre qui la caractérise,
M’abandonner dans son emprise,
Dans ce regard noir sombre et profond,
La lumière jaillit de mille façons.
.
Vouloir la revoir, partager un bout d’été,
Regarder les champs fleurire se colorer,
Contempler les étoiles, croire en celle du berger,
Faire un vœu, celui de l’embrasser.
.
.
à 21:39