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Déambuler dans ma ville,
Ces senteurs de chaque quartier,
Comme l’encre indélébile,
Mes pensées en sont imprégnées.
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Manger avec des baguettes en bois,
Direction le quartier chinois,
Magique et mystérieux à la fois,
Le sushi y est de premier choix.
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Envie de saveurs épicées,
Tagine, couscous, finir par du thé,
Cette danse du ventre cambré,
Me tourne la tête, aidé du narguilé.
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Manger sur les bords de Venise,
Câpres, pâtes et gnocchis,
Les chants des gondoles vénitiennes,
Te font rire, aidée du Chianti.
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Tous ces plats rassemblent les hommes,
Oublions pour un moment ces terres hostiles,
Partageons les saveurs que l’on nous donne,
Dans l’espoir qu’un jour meilleur arrive.
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à 11:28