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Dis-nous le fin mot de cette cabale des faits, sombre histoire,
Dévoile nous qui tu es vraiment dans ce reste de miroir,
Ces longs silences, cloîtré, perdu dans ce noir,
Absoudre l’homme qui est en toi, c’est ton devoir.
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Quoi de plus injuste de ne rien savoir,
Reclus, solitaire, cerbère des lieux aux pensées noires,
Machiavel ton élève puisa, dans ton terrible savoir,
Attila des familles, collabo Satanique, pauvre Bâtard.
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Etre un homme c’est finir sa vie marquée d’empreintes,
D’avancées pour ses futurs siens, le meilleur de soi,
Donner de son passé pour leur avenir meilleur, sans crainte,
Bâtir ce pont de l’au-delà avec sa sueur et du bois.
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Tu ne construis rien, à part une armée bien pâle,
Quand on nait roi la noblesse nous pare,
Tu n’es qu’un fou sur ce damier de dalle,
Bientôt viendra ton tour, ce dernier soupir, le râle.
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Mesure la portée de tes gestes immondes,
La vision du monde est différente quand on est petit,
David était bien plus grand avec sa fronde,
Jouer à Goliath tu sais comment cela finit !
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