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Au nom du père,
Moi j’aimais ma mère,
Absence d’adolescence,
Profonde reconnaissance.
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Vous qui êtes aux dieux,
Que mon nom soit en guillemets,
Pour toujours et à jamais,
Je vous ai tant aimés.
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Que ma volonté soit faite,
Petits pieds partagent ma vie,
Aujourd’hui mon cœur en fête,
Avec lui c’est pour la vie.
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pardonnez moi pour mes oublis,
parce que le temps qui court,
il me reste a peine, la moitié d’une vie,
Ce texte puni de n’avoir vu le jour.
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Demain cause et tes effets,
Je prends le meilleur, sans le pire,
Petit prince découragé,
Au titre de toi et sans soupir.
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Mon enfer, cette lave de mes concessions,
Je dessine encore des lignes sur ma route,
Main experte revient pour une joute,
Je fuis cette ombre comme une contagion.
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Ils regardent le monde d'en bas,
Tendent leurs petites mains,
Les yeux fermés confians en soi,
Toi tu les regardent avec dédain.
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Je les aime ces petits baladins,
La vie me porte, j’en suis conscient,
Ils ne laissent doute sur leurs chemins,
Que la trace des innocents.
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à 12:39