--> Courbé.
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Entreprendre le sprint de sa vie,
Un seul objectif, toi mon aimé, mon arrivée,
Oublier la douleur qui m'asphyxie,
Me tétanise à me paralyser.
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Regarder droit devant soi,
Faire corps avec son environnement,
Retenir sa respiration une bonne fois,
Compte à rebours, enfin le moment.
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Le percuteur frappe la balle,
L’onde de choc me rappelle le départ,
Sur mon trente et un, je détale,
Te demander ta main, dans cette galerie d’art.
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Je t’attends devant ce tableau de la vie,
Faux départ, il faut repartir,
Dans ton regard qui esquive le oui,
Seul le temps saura nous le dire.
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Les lendemains sont plus intéressants,
L’espoir remplit mon imagination,
Je recommence mon entraînement,
Je te demanderai ta main de la même façon.
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