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Chercher un peu plus loin, tâtonner,
N’utiliser qu’un sens, celui qui fait mouche,
A petit pas j’approche vers le brillant, aveuglé,
Ta beauté m’apparait, enfin mon imagination te touche.
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Je ne conçois rien de magique en somme,
Mes poches pleines de rêves, des mots que je sème,
La récolte c’est aujourd’hui, ce jour d’automne,
Mon panier rempli de quatre dizaines de « je t’aime ».
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Dis-moi combien je suis à toi, dis-moi,
Nue pied dans ce champ de bruyères,
Je me dévoile sans avoir froid,
Il ne tient qu’a toi de me garder en mystère.
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Dis-moi combien je t‘aime, dis-moi,
Demande et tu l’auras, Je paraphe en bas,
A la croisée de nos amours il était une fois,
Rien sans toi, et toujours là pour mon chat…
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