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Allongé, le monde est bien étrange,
Ces mouvements que l’on frôle que l’on cherche par évidence,
Les Debouts ont une vision bien latérale,
Ils ne perçoivent pas ceux qui ont mal…
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Compter combien les couleurs sont belles en dedans,
Ces matins, où loin de ton tombeau blanc,
Tu iras voir les Debouts dans la réalité évidemment,
Etre à la hauteur, face à face, droit devant.
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Garder sa haine, gonfler ses nerfs en soi,
Seule nourriture pour te connecter de haut en bas,
Certains parcourent cent mètres en quelques secondes,
Contente-toi de quelques millimètres et quitte ce monde.
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Je glisse ces mots de moi, et cette page vers toi,
D’addiction aux confluences amène tes premiers pas,
Toutes ces journées sont bien longues sous la pierre,
Ces larmes aux secrets bien gardés sous ces paupières.
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Tes pas se sont figés, là devant la lumière,
Une croix couchée à même la terre,
Mais le pire, ceux que tu aimes te voient d’en haut,
Au-delà des nuages, j’arrête c’en est trop….
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à 11:00