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Pourtant si grande, si massive,
S’écroule sous la première missive,
Cette entrée en matière joue à l’éphémère,
Je chemine dans l’obscurité grégaire,
Tu puises dans l'ombre, la force qui t'honore,
Ce partage qui me perd dans mon désaccord,
Tous mes mots composent cette phrase qui s’ignore,
Toucher ces songes où la nuit me dévore,
Ces projets qui cherchent le bon décor,
Joncher cette rivière ou j’y dépose mon or,
Je reconstruis mon mur avec ces gravats,
Du manque il ne me reste plus que ça !
Laisser la vie faire et laisser faire,
Une armée et son roi peuvent tomber à terre,
J'ai cherché, cherché les mots magiques,
Les pierres sacrées, les anciennes reliques,
Toi seule fera le choix qui te portera,
Dans les bras de ton homme qui sera roi…
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